Parfois, on a les yeux plus gros que le ventre et il en est de même pour les dépenses. Certains n’arrivent pas à se limiter quand il s’agit de sortir faire du shopping. Cela peut être un comportement occasionnel ou une tendance bien ancrée et récurrente, on parle alors d’onimanie.
Dans les deux cas, cela peut mener au découvert bancaire, à des agios qui vont augmenter le coût de ces achats, à un interdit bancaire et de potentiels gros problèmes financiers.
Voilà pourquoi il est essentiel de bien choisir sa solution de paiement quand on sent la fièvre acheteuse approcher. L’idéal est de se faire aider par un proche pour tout mettre en place.
Quelle banque choisir pour une acheteuse ou un acheteur compulsif ?
Procurant du plaisir et un certain sentiment de satisfaction, acheter est une action qui paraît tout à fait anodine. Pourtant, dans certains cas, il devient essentiel, voire vital de se procurer de nouveaux articles. C’est un mal qui touche les acheteurs compulsifs.
Le profil d’un acheteur compulsif
L’onimanie, la fièvre acheteuse ou plus simplement le trouble lié à l’achat compulsif est une addiction à l’achat épisodique. Elle n’est pas à confondre avec l’effervescence d’achat que peuvent créer les évènements spéciaux comme les soldes, l’approche des fêtes ou encore le Black Friday. En effet, même en dehors de ces périodes, un acheteur compulsif ressentira l’envie incontrôlable d’acquérir de nouveaux biens.
Qui sont les acheteurs compulsifs ?
D’après une étude menée par plusieurs chercheurs, dont Fernando Fernández-Aranda et Granero Roser dans Compulsive Buying Behavior : Characteristics of Comorbidity with Gambling Disorder : 3,4 % à 6,9 % de personnes sont diagnostiquées acheteurs compulsifs en Europe.
Le mal a plus tendance à toucher les étudiants avec un pourcentage de 5,9 à 11,5 %.
En ce qui concerne la moyenne d’âge, elle est de 38 ans, toujours selon la même étude.