À l’heure où la biodiversité est dangereusement menacée, Goodvest lance une initiative pionnière en France. La plateforme d’épargne durable et éthique conçoit désormais ses solutions d’investissement pour lutter contre cette déplorable perte. Explication.
La biodiversité : c’est quoi ?
Pour mieux comprendre la biodiversité, l’office français chargé de sa protection et de sa restauration l’explique en détail :
- Le concept a germé dans les années 80,
- Mais la biodiversité est aussi vieille que la vie sur terre,
- Elle représente l’ensemble des êtres vivants (animaux, plantes, animaux, bactéries, champignons…) et leurs écosystèmes. Les êtres humains appartiennent à une espèce constituant un fil de ce tissu vivant,
- Le terme inclut aussi les interactions (prédation, coopération, symbiose…) entre les différentes espèces elles-mêmes et entre ces organismes vivants et leurs milieux de vie.
Les bénéfices de la biodiversité sont innombrables, pour ne citer que l’apport en oxygène, en nourriture, en eau potable, en énergies, en matières premières et en remèdes. La Métropole, en particulier, se distingue en Europe par la diversité de ses oiseaux, ses mammifères et ses amphibiens. Les collectivités d’outre-mer, quant à elles, abritent 10% des récifs coralliens mondiaux. Mais ces patrimoines naturels sont de plus en plus menacés.
L’Observatoire national de la biodiversité déplore la disparition de 18% des espèces et l’état de conservation défavorable de 78% des habitats. De son côté, la solution d’épargne verte Goodvest regrette l’altération de manière significative de 75% de la surface terrestre, la forte dégradation de 40% des écosystèmes marins et la menace d’extinction d’un million d’espèces. Les activités humaines en sont les principales responsables.
Pourquoi Goodvest s’engage pour la diversité ?
Face à l’urgence de la situation, Goodvest décide d’agir. Lors de sa prise de parole sur LinkedIn, Joseph Choueifaty, co-fondateur et CEO, annonce que la Fintech française ne se limite plus à la lutte contre le réchauffement climatique. Elle sélectionne désormais les investissements de manière à ne retenir que ceux qui limitent également l’impact sur la biodiversité. Pour expliquer son geste, la solution d’investissement engagée s’est basée sur un problème dans sa méthodologie :
- Depuis le début, cette méthodologie a fait l’objet d’une amélioration continue, de manière à lutter contre le réchauffement climatique,
- Mais un problème persiste. Il n’est pas possible de parler du dérèglement climatique sans parler des gaz à effet de serre, des puits de carbone, des forêts, du végétal et du vivant. En clair, tout est lié. Il n’est pas possible d’évoquer le problème du climat sans aborder celui de la biodiversité.
- En somme, lutter contre le réchauffement climatique, c’est aussi passer par la protection de la biodiversité.
Comment Goodvest lutte contre la perte de la biodiversité ?
Depuis sa création, la Fintech à mission a mis en place une méthodologie scientifique. Elle analyse les fonds d’investissement suivant un cahier des charges et des critères environnementaux très stricts. Son objectif est de ne sélectionner que les plus vertueux pour garantir un investissement responsable.
Aujourd’hui, la plateforme d’investissement ajoute une nouvelle étape à sa méthodologie. Celle-ci utilise le MSA.KM², autrement dit, la moyenne d’abondance des espèces rapportées au kilomètre carré, afin de mener des comparaisons avec les portefeuilles traditionnels. Cela fait maintenant un an que l’équipe étudie le sujet à fond pour obtenir une méthode fiable et fondée sur la science. Désormais, les solutions d’épargne Goodvest sont aussi pensées pour lutter contre la destruction de la biodiversité. Pour rendre cette initiative possible, l’entreprise se base sur les données de la CDC Biodiversité et Carbon4 Finance.
Pour lutter contre le dérèglement climatique et la perte de la biodiversité, il suffit d’investir responsable sur la plateforme française. Au choix, une assurance vie, une assurance vie mineur et un Plan d’épargne retraite.
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