Avis October : pour investir dans une entreprise à potentiel

Lancée sous le nom de Lendix en 2014 par Olivier Goy qui est toujours à sa tête, October est une startup à double casquette. Elle surfe sur la vague du digital et arrive à mettre d’accord et à satisfaire à la fois :

• Les particuliers (qu’ils soient français, espagnols, italiens, néerlandais, ou allemands) qui cherchent une solution d’investissement originale avec une performance dynamique.
• Les professionnels (qui ont une entreprise dans les 5 mêmes pays que les particuliers) qui ont des projets pour lesquels ils manquent de trésorerie.

Pour les particuliers, tout est transparent. Il est facile de trouver le taux moyen de rendement que l’on peut attendre en moyenne. Et il leur est bien rappelé tout au long du processus que, même si les rendements sont habituellement bons, avec une moyenne de près de 6% sur ces 5 dernières années, il est possible de tout perdre.

Pour les professionnels les projets sont finement étudiés afin de minimiser au maximum les risques pour les prêteurs. Il y a un test d’éligibilité instantané. Comme ça l’entrepreneur ne perd pas son temps précieux. En 48 heures il est possible d’obtenir une offre ferme.

Elle compte aujourd’hui plus de 75 salariés basés à Paris. Cette startup de la Fintech a rejoint le club du Next40 c’est à dire celui des startup ayant le plus de potentiel pour rejoindre les Licornes.

Les particuliers peuvent choisir le ou les projets dans lesquels ils veulent investir. Les projets sont classés ainsi que le portefeuille du propriétaire du compte. La plateforme incite à diversifier au maximum son portefeuille. Plus il est diversifié, moins il est risqué.

A l’ouverture du compte, une série de questions basiques sont posées pour connaître l’état des connaissances du futur client. Tout au long du processus, October fait les choses bien. Le client est accompagné et conseillé. Il est face à une société en ligne qui se retrouve être un véritable coach en épargne !

Il est possible de simuler ses gains en fin de prêt et il est fortement conseiller de réinvestir une partie de ses remboursement pour booster la rentabilité.

Tout est transparent, le suivi de la collecte d’un projet est accessible à tout moment. Généralement celles-ci sont rapides, si le projet semble bon. il est préférable d’agir vite. Pour se faire, il peut être conseillé de passer une période d’observation puis ensuite de passer à l’action.

Simple comme bonjour : un jeu d’enfant!

Il faut donner son état civil, son numéro de téléphone et adresse postale. Envoyer la photo de deux pièces d’identité. Puis ont reçoit un email et un SMS pour valider le compte.

Et le tour est joué en moins de deux minutes.

Tous les jours, il est possible de choisir de nouveaux projets.

Tous les mois, les remboursements tombent sur le compte.

La personne qui va décider d’investir son argent chez October pourra :

• Choisir ses investissement dans un panel de projet d’entreprises européennes, ce qui est un énorme plus pour la diversification,
• Démarrer son investissement dès 20€,
• Tout se fait gratuitement et en ligne,
• Le taux d’intérêt peut grimper jusqu’à 9,9%;
• Les remboursements sont mensuels.

Pour le moment, October a eu près de 22 000 prêteurs, qui sont à 68% des institutionnels et 19% des particuliers.

October est très réactif et fondamentalement Humain. La plateforme a proposé à ses clients prêteurs de laisser une bulle d’oxygène aux TPE et PME qui ont emprunté via leur outil. Pour se faire ils ont organisé un vote où ils ont demandé si les prêteurs acceptaient de faire une pause de trois mois pour les remboursements.

Cette proposition a été acceptée par 99,42% des prêteurs.

Exceptionnellement, les remboursements seront gelés pendant trois mois. C’est un très beau geste de solidarité que nous applaudissons.

Comme beaucoup de solution d’épargne, le crowdleding consiste à prêter de l’argent à des TPE/PME et, cela présente un risque de perte en capital et nécessite une immobilisation de l’épargne en question.

Il est donc primordial de prêter et d’empruntez dans la limite du raisonnable. Il faut toujours vérifier sa capacité de remboursement.