
Le Private equity, mode d’emploi
Le Private equity – ou capital-investissement – consiste à entrer au capital d’entreprises non cotées, souvent au moment clé où elles accélèrent leur développement. Concrètement, l’épargnant apporte des capitaux à un fonds qui sélectionne, accompagne puis revend des participations après plusieurs années, espérant réaliser une plus-value. Cette classe d’actifs se distingue par la création de valeur hors des marchés boursiers, la participation directe à l’économie réelle et, à long terme, une performance moyenne supérieure aux grandes classes cotées : en France, l’étude France Invest / EY affiche une performance de 13,3% par an sur dix ans, contre 10,5% pour le CAC 40.
Un univers longtemps réservé aux initiés
Jusqu’à récemment, seuls les institutionnels (caisses de retraite, compagnies d’assurance) et quelques fortunes familiales pouvaient financer ces entreprises non cotées : tickets d’entrée élevés, documentation technique, horizon d’investissement de huit à dix ans. Les particuliers se heurtaient surtout à un minimum d’engagement parfois supérieur au million d’euros et à l’absence de liquidité intermédiaire. Résultat : un secteur perçu comme opaque ou inaccessible. S’y ajoutent deux idées reçues :
- « C’est plus risqué que la Bourse » : le Private equity comporte un risque de perte en capital ; pourtant, la diversification sur des dizaines de sociétés et le suivi actif des gérants atténuent les accidents individuels.
- « Mon argent est bloqué » : la durée de vie d’un fonds reste longue, mais des distributions progressives (reventes partielles) interviennent souvent dès la quatrième ou cinquième année.
Goodvest démocratise le non coté responsable
Avec son nouveau service, Goodvest fait entrer le Private equity dans son cercle privé d’investisseurs engagés, dès 100 000€ et sans frais d’entrée. Une barrière plus basse que les standards historiques, tout en maintenant un niveau d’exigence institutionnel : sélection des gérants, due-diligence ESG, accompagnement personnalisé. Les porteurs bénéficient d’un portefeuille sur-mesure, conçu par l’équipe Investissement responsable de Goodvest, déjà reconnue pour ses solutions d’assurance-vie, PER et livret alignés sur l’Accord de Paris.
L’approche se concentre sur trois piliers :
- Impact mesurable : tous les fonds sont classés Article 9 SFDR, le plus haut standard extra-financier .
- Décorrélation : le non coté répond à d’autres moteurs de création de valeur que les marchés actions, renforçant la diversification globale du patrimoine.
- Transparence : reporting régulier, indicateurs carbone et suivi de la contribution positive.
Trois fonds soigneusement choisis
La première fenêtre de souscription s’articule autour de trois véhicules complémentaires :
Fonds (gestionnaire) | Objectif net* | Thèmes phares | Période de souscription |
Ring Altitude Growth II – Entrepreneurs (Ring Capital) | TRI cible 17% ; multiple 1,8× | Innovation sociale et environnementale dans les PME/ETI françaises et européennes (ex. Karos, Enerdigit) | Jusqu’en juin 2025 |
Mirova Impact Life Essentials (Mirova) | TRI cible 10–14,2% ; multiple 1,9× | Santé, éducation, consommation responsable, inclusion (ex. Neosilver) | Jusqu’en sept. 2025 |
Tikehau Decarbonization Fund II – Feeder (Tikehau Capital) | TRI cible 15% ; multiple 1,93× | Décarbonation d’entreprises mid-cap : infrastructures, énergie, transport (ex. Vulcain, CEBAT) | Jusqu’en oct. 2025 |
*Objectifs indicatifs, non garantis
Au-delà de leurs thématiques distinctes, ces trois fonds partagent un point commun : la recherche d’un double rendement, financier et environnemental. Leurs sociétés en portefeuille développent le covoiturage courte distance, l’efficacité énergétique ou l’inclusion numérique, autant de secteurs porteurs dans la transition.
Une gamme désormais complète
Cette nouvelle brique s’ajoute à l’offre Goodvest : assurance-vie flexible, PER avantageux, infrastructures vertes, immobilier durable ou produits structurés thématiques. Tous suivent la même méthodologie propriétaire, excluant l’extraction d’énergies fossiles et intégrant depuis 2024 l’empreinte biodiversité – une première en France selon Reclaim Finance . Goodvest regroupe aujourd’hui plus de 12 000 clients, dont près de la moitié de femmes, et affiche déjà plus de 40 000 tonnes de CO₂e évitées depuis sa création.
Qui est Goodvest ?
Fondée en 2020 par Joseph Choueifaty, Antoine Bénéteau et Aurore Pinon-Jacques, la fintech française veut transformer l’épargne en moteur de transition. Son application intuitive, adossée à l’assureur Generali, combine gestion pilotée, reporting carbone détaillé et accès à un conseiller dédié. L’entreprise emploie une trentaine de collaborateurs et obtient la note moyenne de 4,9/5 sur Trustpilot et Google.
Comment participer ?
- Prise de rendez-vous : un conseiller privé analyse le profil patrimonial et les objectifs (horizon, sensibilité au risque, convictions).
- Construction du portefeuille : allocation entre les fonds Ring, Mirova et Tikehau, éventuellement enrichie d’autres millésimes lors des futures fenêtres de souscription.
- Suivi sur l’application : valorisation actualisée, rapports d’impact, notifications de distributions au fil des sorties de participations.
Points de vigilance
- Liquidité : les parts sont destinées à être conservées huit à dix ans ; la vente anticipée peut s’avérer difficile.
- Risque de perte en capital : aucune garantie, ni sur le capital, ni sur la performance.
- Diversification indispensable : le Private equity vient compléter – et non remplacer – un socle d’actifs liquides.
En résumé
Le Private equity sort progressivement de son entre-soi et s’ouvre aux épargnants avertis désireux de conjuguer rendement élevé et impact environnemental. En réunissant un ticket d’entrée réduit, une expertise ESG de pointe et une absence de frais d’entrée, Goodvest positionne son offre comme passerelle naturelle entre finance responsable et économie réelle.
Pour découvrir votre allocation sur-mesure ou poser vos questions, il suffit de réserver un entretien sur goodvest.fr/private-equity. L’occasion de donner un nouveau souffle à votre patrimoine tout en accompagnant les entreprises qui façonnent le monde de demain.
Investir comporte des risques : absence de garantie du capital, liquidité réduite, horizon long terme. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.