Réveil fiscal et manipulation médiatique : comprendre et reprendre le contrôle
Dans une société où l’impôt est omniprésent, où les médias sont largement subventionnés, et où l’individu se sent de plus en plus dépossédé de sa souveraineté, il devient urgent de décrypter les mécanismes du pouvoir. Le 27 Mars 2025, Stéphanie Thomas, directrice de publication du site Comparateurbanque.com, recevait FX de Draw My Economy, youtubeur qui décrypte l’actualité économique, sur la chaîne YouTube Stef Compare . Ensemble ils ont livré une critique acérée du système français et appellé chacun à reprendre le contrôle de sa vie, de ses choix et de ses finances.
L’impôt comme outil de contrôle social
La fiscalité en France est au cœur des débats. Loin d’être un simple levier de redistribution, elle est perçue comme un moyen de soumission et de dissuasion : « L’impôt ne sert plus à financer un service public, il sert à faire tenir un modèle qui part en vrille. » Entre les taxes visibles (TVA, IR, CSG) et les prélèvements indirects, l’État ponctionne massivement les revenus des citoyens, sans pour autant offrir un service à la hauteur.
Selon FX, la logique est claire :
« Plus tu travailles, plus tu payes. Si tu arrêtes, tu es assisté. Le système te pousse à l’inaction. »
« Le système fiscal actuel pénalise l’effort et récompense la dépendance. C’est une machine à décourager l’initiative. »
Subventions, médias et ONG : une démocratie sous perfusion
Les médias français sont fortement subventionnés, parfois à hauteur de 100 millions d’euros pour certains groupes. « Les journaux vivent de l’argent public. Ils ne sont plus les chiens de garde du peuple, mais les porte-voix du pouvoir ». Cette dépendance financière entraîne une perte d’indépendance éditoriale et alimente la défiance citoyenne. « Les subventions aux médias, aux films, aux ONG… c’est de la corruption douce. On crée des clientèles. »
La critique s’étend aux associations dites “humanitaires” ou “écologiques”, accusées d’être de simples relais d’une idéologie technocratique.
« L’écologie est devenue un outil de contrôle. On t’impose des règles absurdes au nom de la planète, mais c’est surtout pour t’empêcher de vivre librement. »
DPE, ZFE, QR codes, et autres dispositifs liberticides
Les DPE (diagnostics de performance énergétique) et les ZFE (zones à faibles émissions) sont dénoncés comme des leviers insidieux de dépossession. « Avec les DPE, on peut rendre ton logement invendable. Avec les ZFE, on peut t’interdire de circuler. Tout est fait pour te coincer. » Ces dispositifs s’ajoutent aux QR codes, pass numériques et contrôles administratifs multiples, dans une logique de traçabilité permanente.
« On vend ça comme des mesures pour l’écologie ou la sécurité, mais c’est surtout pour que tu aies besoin de l’État à chaque instant. »
Le citoyen face à l’État : infantilisation et impuissance programmée
Le constat est sans appel : « Les gens ne savent plus se défendre. Ils pensent que l’État est là pour eux, alors que c’est devenu une machine à broyer. » Les intervenants dénoncent l’infantilisation croissante, nourrie par un système éducatif défaillant, une information biaisée et une bureaucratie kafkaïenne.
FX va plus loin : « On a créé une société de victimes. On t’apprend à accuser, jamais à te battre. Tu vas porter plainte pour tout et n’importe quoi, mais tu ne construis rien. »
Vers une reconquête du libre arbitre
Face à ce constat, les intervenants appellent à un sursaut. Pas nécessairement politique, mais personnel. « Tu veux changer les choses ? Commence par reprendre le contrôle de ta vie. Apprends, investis, produis. » Pour FX, cela passe par la responsabilisation : « Tu dois être l’acteur de ta vie. Le libre arbitre, c’est comme un muscle : si tu ne t’en sers pas, il s’atrophie. »
« L’État est en train de tomber. Ce sont des zombies qui tiennent encore grâce à ton argent et ta peur. Il faut couper le robinet. »
Se battre pour soi : investissement, autonomie et stratégie
La liberté n’est pas gratuite. Elle demande des efforts, une stratégie et une forme de discipline. « L’objectif n’est pas de tout plaquer et d’aller vivre dans les bois, mais de se désengager intelligemment du système. » Cela passe par la diversification patrimoniale (or, actions, liquidités), la maîtrise de ses dépenses, mais aussi par un repositionnement professionnel et géographique.
« Tu ne peux pas sauver le système. Mais tu peux te sauver toi. Et autour de toi, d’autres feront pareil. C’est ça, la vraie révolution. »
Conclusion : entre lucidité et action
Ce résumé d’une heure d’échanges critiques sur le système français dresse un portrait sombre mais lucide de notre époque. Il met en lumière les mécanismes de domination — fiscaux, médiatiques, réglementaires — tout en ouvrant des pistes d’émancipation individuelle. Les mots sont forts, les constats tranchés, mais l’intention est constructive :
« Il ne s’agit pas de râler pour râler. Il s’agit de comprendre pour agir. »
Revoir l’interview sur YouTube :
